Cancer du sein : 5 000 femmes pourraient éviter une chimiothérapie inutile
Thématiques : Santé publique
Durée : 8 min 33s
Résumé : Jusqu’à 75% des femmes ayant un cancer hormonosensible dépisté à un stade précoce pourraient avoir recours aux tests génomiques en cas d’hésitation sur l’indication d’une chimiothérapie, non pas pour la faire, mais pour ne pas la faire.
Description : Dans cette vidéo de plusieurs experts dont Joseph GLIGOROV, de l'Institut Universitaire de Cancérologie à l'AP-HP. Sorbonne Université, Laure GUEROULT ACCOLAS, de la Fondatrice de l’association Patients en réseau et Jean Jacques ZAMBROWSKI, médecin et économiste de la santé nous parle de l’étude RxPONDER, présentée il y a quelques semaines lors du congrès de sénologie à San Antonio (SABCS). Cette étude porte sur l’utilisation de tests génomiques pour confirmer l’intérêt ou non de la chimiothérapie chez les femmes ayant un cancer hormono-dépendant avec atteinte ganglionnaire. « Parmi les tests aujourd’hui disponibles, le test Oncotype DX a pour objectif d’indiquer, non pas l’intérêt, mais au contraire en cas d’hésitation, l’absence d’intérêt à faire une chimiothérapie. »
Sources : Interviews réalisées par Acteurs de santé Tv, avec le soutien d’Exact Sciences qui n’est pas intervenu dans le contenu éditorial - dans le cadre du « 2020 San Antonio Breast Cancer Symposium », décembre 2019, USA, au cours duquel les résultats de l’étude RxPONDER ont été présentés.